Prenant et déroutant. Peut-être plus déroutant que prenant. L'idée d'un manuscrit qui passe d'une main à l'autre en laissant derrière lui un sillage de morts et de dévastations ne manquait pas de sel. L'explication offerte de cette étrange malédiction était elle aussi ingénieuse et pourtant plausible. Jusque-là, l'écriture aidant, le bouquin fascine. Les choses se gâtent quelque peu, cependant, quand se multiplient les ruses, les feintes, les esquives. Trop, c'est trop. Le comble est atteint lorsque tombe l'épilogue qui arrache encore quelques masques . . .
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