L'œuvre de Martin Page mérite tellement, tellement plus qu'un commentaire. Elle mériterait des pages et des pages d'éloges et de remerciements. Des fleurs, des câlins, des clins d'œil. Des mots d'amour. Des tonnes de mots d'amour. Et du silence aussi, comme lorsque l'on s'incline devant la beauté fulgurante d'un coucher de soleil au mois de mai.
Depuis maintenant dix ans, Martin Page nous fait don de petits bijoux de parole et de pensée, d'humour et de folie. Ses livres – chacun d'entre eux –, qu'ils se destinent à un public adulte ou à un public enfantin, sont l'œuvre d'un esprit sans pareil, au sein duquel l'imagination se pose, se dresse même, tel un défi, un pied de nez magnifique à la bête, l'unique, l'écrasante réalité. Et les nouvelles qui composent La mauvaise habitude d'être soi, illustrées de très belle façon par Quentin . . .
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