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LA FILLE QUI AIMAIT LES SCIENCES

UNE HISTOIRE D’ARBRES ET DE VIE
408 pages
29,95 $
Trad. de l’américain par Lucile Débrosse
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Très tôt dans sa vie, Hope Jahren a su que les laboratoires seraient les endroits où elle voulait passer sa vie. (En anglais, son ouvrage s’intitule d’ailleurs Lab Girl). La révélation de sa vocation, elle l’a eue dans les années 1970 (elle est née en 1969) quand son père l’amenait dans les labos du collège d’une petite ville du Minnesota où il enseignait les sciences. Plus tard, elle dira même : « Parce que le monde ne peut entrer dans mon labo, il est devenu l’endroit où je peux être moi-même », témoignant ainsi d’un malaise avec ce qui n’est pas la science.

C’est peu dire que Jahren aime la botanique. Elle fait pratiquement corps avec elle. Souvent dans les colloques, quand on lui demande l’objet de ses recherches, elle répond qu’elle veut comprendre « ce que c . . .

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