Un matin, on sonne à la porte de Jacques Larivière. Une dame, « une bourgeoise sortie d'un téléroman américain genre Dynasty ou Dallas », lui propose de participer à une soirée privée. Jacques est un travailleur du sexe, il a besoin d'argent. Il accepte. Aussitôt, il est conduit, yeux bandés, sur les lieux où le soir même se déroulera une grande partouze. D'autres prostitués sont engagés pour l'événement, et Jacques passe l'après-midi en leur compagnie. En début de soirée, des gardiens les escortent, c'est l'ouverture de la fête. Dans une grande pièce, on leur demande de se placer en rang et de rester immobiles. Devant eux, des gens masqués s'abandonnent à diverses pratiques sexuelles ; au centre, une maîtresse et son esclave se plient à une mise en scène sadomasochiste. La femme flagelle et invective son partenaire, qui pendant un bon moment geint . . .
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