Un livre des comptes affectifs, voilà ce que dépose Michel Pleau entre les mains des lecteurs avec J’aurai bientôt ton âge. Dédié « À la mémoire de [son] père, Arthur Pleau – 1922-1976 », ce court recueil revisite le lien filial, cet ancrage fondamental, et la part ombrageuse de sa perte à l’origine de l’élan d’écriture de l’auteur.
En cette année 2018, alors qu’il atteint lui-même l’âge auquel son père est mort, Pleau renoue avec le garçon endeuillé qu’il fut et retrouve . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion