« Roman estival », annonce la couverture, sans préciser s’il s’agit d’un hommage à l’été ou d’une grimace jetée à la littérature. À la lecture, on se demande quelle saison convient le moins mal à ces médiocres variations sur les thèmes du voyeurisme et de la taille des organes sexuels. Certes, le récit érotique occupe et mérite sa place en littérature, mais encore faut-il, pour accéder à ce résultat, qu’il dépasse la génitalité. N’est pas Boccace qui veut.
ESPACE PUBLICITAIRE
DERNIERS NUMÉROS
DERNIERS COMMENTAIRES DE LECTURE
Loading...