Riche idée et début à la hauteur. Dans le coin droit, le soldat Patrick Kègle, qui va tenter « d'expliquer combien les soldats canadiens sont humains et prêts à servir l'humanité » ; dans le coin gauche, l'enseignante Roxanne Bouchard qui, d'entrée de jeu, met les points aux bons endroits : « Si vous étiez vraiment homme de cœur, vous refuseriez de porter les armes ». La correspondance qui s'enclenche ainsi dans la clarté durera plusieurs années, avec des éclipses lorsque le militaire revient au pays et retrouve à la fois sa famille et ses chocs post . . .
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