Autant dans ses romans et nouvelles que dans ses récits, Gilles Archambault a habitué ses lecteurs à des œuvres intimistes où il adopte le ton de la confidence. On sent, dans ses ouvrages de fiction, beaucoup d’éléments autobiographiques, de nombreuses références à sa vie et à ses réflexions quotidiennes. À chaque occasion, son protagoniste n’est jamais loin du véritable Gilles Archambault. Et cette fois-ci, bien que Doux dément soit présenté comme un roman, on ressent plus que jamais la présence de l’écrivain derrière la voix du . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion