Combustio ou combustion en catalan. Le feu, la flamme, le brasier ou l’incendie. Gilles Jobidon place au cœur de cette thématique le Grand Incendie de Londres de 1666, le peintre irlandais Francis Bacon et la fabuleuse technique picturale de Georges de La Tour, le peintre des nuits.
Petites histoires et grande histoire, monde étrange des artistes et des Circassiens, voyages dans le temps et de par le vaste monde, un méli-mélo attend le lecteur. Paris, Londres ou Buenos Aires ; Combustio se développe en de nombreuses péripéties, plus ou moins parallèles, et une pléiade de personnages. Ce qui n’en fait pas un livre facile.
L’auteur a bâti son intrigue – ou mieux ses intrigues – comme des poupées russes, ces poupées gigognes appelées matriochkas. Ou comme un livre à tiroirs. L’archéologue Jane Dix, un des personnages principaux de Combustio, ne dit . . .
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