Comme tout romancier, Daniel Poliquin n’a jamais vraiment cessé de réécrire le même roman depuis ses débuts, il y a exactement 35 ans.
D’un roman à l’autre, on reconnaît ses thèmes de prédilection, le rythme de son écriture, son humour, ses dons incomparables de conteur, etc. Il y a une manière Poliquin qui avec le temps s’est imposée, au lecteur comme au romancier lui-même, d’ailleurs, lequel a été étonné un jour de réaliser qu’il reconduisait malgré lui les postures imaginaires et intellectuelles . . .
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