Bertrand Gervais poursuit depuis plusieurs années une carrière de professeur de lettres à l’UQAM, alternant publications scientifiques et romans souvent empreints des questions traitées par l’essayiste. Spécialiste, entre autres domaines, de littérature américaine, le prolifique polygraphe revient à la charge avec un roman sur la guerre, ou plutôt, sur les guerres.
Les petites, personnelles et privées ; les grandes, de portée nationale, voire mondiale, de celles que l’on transpose au grand écran et dont on pleure les victimes à coups de monuments commémoratifs. Son roman intègre d’ailleurs plusieurs descriptions de scènes d’anthologie empruntées à Cimino, Coppola et Kubrick, trois pointures du cinéma ayant traité du conflit vietnamien.
Au départ, un froid amoureux, une histoire de cœur qui bégaie. À défaut d’une thérapie de couple, le narrateur de La dernière guerre s’offre un road trip curatif aux États . . .
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