« Patience et longueur de temps », prônait Jean de La Fontaine1, un adage que l’auteur a sûrement fait sien en échafaudant sa nouvelle proposition littéraire, celle d’écrire l’histoire de l’humanité, rien de moins. L’écrivain franco-belge2 caressait cette idée folle depuis plus de 30 ans.
Du néolithique jusqu’à aujourd’hui
Projet titanesque, La traversée des temps comptera plus de 5000 pages. En 2021, Schmitt publie coup sur coup les deux premiers tomes de son magnum opus qui en comptera huit, soit Paradis perdus3, dans lequel ses personnages affrontent le déluge, et La porte du ciel4, où il est bien entendu question de la tour de Babel. Le prolifique écrivain a terminé le découpage de l’odyssée depuis . . .
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