Le Toulousain d’origine puise son inspiration à de multiples sources : la mythologie, le fantastique, le thriller, l’ésotérisme, le conte philosophique, le roman historique. C’est sans doute ce qui le pousse à considérer que son œuvre relève moins de la science-fiction que de la « philosophie-fiction ».
Pour Bernard Werber, la philosophie-fiction désigne « non plus de la technologie mise en fiction mais de nouveaux modes de pensée1 ». D’une œuvre à l’autre, depuis bientôt trente ans, l’auteur des Fourmis ne cesse d’approcher de nouveaux mystères, tout en glissant de constantes allusions à ses propres textes, si bien que la « signature Werber » est facilement reconnaissable. Qu’explore-t-il au juste ? Le savoir absolu et relatif ; une solution de rechange à la Terre ; la maîtrise du sommeil ; la connaissance des vies antérieures ; la communication entre les espèces animales ; l’accession à des mondes invisibles, parmi bien d’autres sujets encore. En arri . . .
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