à Denis Vanier…
Montréal, le 6 mai 1988
Mon cher Denis Vanier,
Reçu le paquet et il a été ouvert immédiatement, tu penses. Merci d’avoir pensé à m’envoyer ton Épilepsie de l’éteint avec une couverture magnifique.
La première lecture a été faite et je veux te donner mon sentiment sans tarder avec, bien entendu, plus d’enthousiasme que de réflexion car le temps apporte des modifications dans la perception des choses et des êtres.
C’est magnifique de mélancolie et d’une espèce de tristesse auxquelles tu ne t’es pas adonné beaucoup par le passé. Je crois que l’on peut résumer le meilleur de ce recueil dans cette image (ô je n’aime pas ce mot !) trouvée immédiatement dans « Et c’est ainsi depuis » (déjà le titre en fait de nostalgie) où des bijoux prohibés deviennent une lotion . . .Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion