Né en 1945, Georges Leroux arrive à l’âge professionnel au moment où le Québec met la hache dans le cours classique qui l’a formé et s’étourdit momentanément dans les mouvances révolutionnaires. Cette charnière entre l’« humanisme » et la « modernité », cette jonction entre tradition religieuse et sécularisation imprégneront tout son parcours de penseur et de citoyen.
On ne se refait pas : Georges Leroux est un intellectuel. Ce qui le branche, ce sont les livres, l’étude, la philosophie. Rien ne le fascine autant qu’une bibliothèque, rien ne le motive . . .
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