Alger, 1956, un ouvrier tourneur français, Fernand Iveton, militant communiste et anticolonialiste, pose une bombe dans la manufacture où il travaille.
Le but : déstabiliser le pouvoir en place, faire le maximum de dégâts matériels en provoquant une panne d’électricité à Alger tout en veillant à ce que personne ne soit blessé. Fernand Iveton est un idéaliste. Ses convictions politiques visent un monde meilleur, et ce monde, dans l’immédiat, passe par une Algérie libre. Une Algérie où tous naissent égaux, sans égard pour leur origine, leur religion, leurs opinions politiques . . .
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