Ironie du sort, voilà peut-être qui résume le mieux les circonstances entourant la publication de J’écris fleuve1. À peine les cinq milliards de litres d’eaux usées montréalaises avaient-ils franchi le golfe du Saint-Laurent que paraissaient ces textes de plus d’une trentaine de contributeurs issus de spécialités diverses. Une modeste mais superbe façon de racheter des outrages qui ne datent pas d’hier, d’expier le traitement cavalier dont le fleuve accuse depuis trop longtemps les néfastes retombées.
Il y a presque 25 . . .
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