Bonsoir, cher Gaston,
Salut à toi qui, selon la bonne coutume de tes jours, occupe pleinement cet espace où tu te trouves avec nous.
Oui, que ta présence est vivante, ici, ce soir, dans la récitation de ton œuvre impérissable, certes, mais aussi dans ta personne que nous portons en chacun de nous avec admiration, avec amitié, dans la plus grande tendresse.
Tu vibres en chacun de nous qui conservons en nous un moment précieux de toi, fût-il celui, inopiné, d'une rencontre dans une rue de cette ville, ou celui, organisé, d'un lancement, d'un colloque littéraire, d'une réunion politique ou celui, recherché, d'un rendez-vous avec l'éditeur, le militant, le camarade, l'ami.
Tu bats même dans les cœurs de celles et ceux, qui, trop jeunes ou trop éloignés de tes centres de gravité, n'ont pas eu le privilège de te connaître, mais qui savent par ouï-dire une ou deux . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion