De tous les poètes québécois, Émile Nelligan (1879-1941) est certainement celui dont l'œuvre a été la plus rééditée et la plus lue. Écrite sur une brève période, à la fin du siècle dernier, elle continue de hanter l'imaginaire des poètes et des lecteurs contemporains.
Admirée, analysée, chantée, cette poésie, qui tient à la fois du romantisme et du symbolisme, propose une synthèse personnelle des mouvements littéraires de son époque, tout en présentant une ouverture sur la modernité du siècle qui . . .
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