Enard se réclame ouvertement de Rabelais à la fois par la richesse lexicale et par l’esprit de démesure que l’on retrouve dans son roman. Plus qu’un simple pastiche, son roman plonge au cœur de la France rurale et ramène à l’avant-plan ces histoires qu’on se racontait autrefois lors des soirées funèbres, tout aussi macabres que drolatiques, le tout avec un humour, une verve, une drôlerie […].
Lisez ici la critique du Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs de Mathias Enard.
Par Jean-Paul Beaumier.