Le 12 novembre 1984 Paul-Émile Roy, professeur et essayiste, qui se dit « lecteur assidu » de Pierre Vadeboncœur, adresse à celui-ci un billet accompagnant un article qu’il lui a consacré. Vadeboncœur répond qu’il se sent « vraiment compris » : « […] je n’écris, au fond, en vérité, que par poésie, par art, beaucoup moins par volonté d’analyser, Par action donc […] par amour, par délectation ». Dès cette réponse le ton de la correspondance est donné et le niveau auquel elle s’engage, celui de l’implication directe et franche.
Vadeboncœur aime recevoir . . .
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