Télérama voyait du Faulkner en elle1. Aux États-Unis, elle évoque une Willa Cather des Prairies canadiennes. Au Québec, cette « voisine méconnue », comme l’appelle David Homel, fait penser à une « Gabrielle Roy du Canada anglais2». L’édition complète du Cycle de Manawaka chez Alto3 est l’occasion toute désignée de replonger dans l’univers de la Manitobaine quelque 25 ans après sa mort.
Le cycle de Manawaka se compose de cinq livres dont l’essentiel a été écrit pendant que la romancière résidait en Angleterre avec ses deux enfants. Il comprend quatre romans : L’ange de pierre (1964), Une divine plaisanterie (1966), Ta maison est en feu (1969), Les . . .
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