Voilà un livre dense, étrange et déroutant, à commencer par son titre. Ce récit ne se résume pas vraiment et il faut le lire d'une traite, sinon on risque fort d'en perdre le fil. Il faut aussi savoir que Per Odensten écrit sans trop se soucier des règles : chapeau, donc, à son traducteur !
D'entrée de jeu, l'introduction de Régis Boyer, le valeureux traducteur, laisse perplexe : « Il est bien évident qu'un pareil ouvrage ne saurait se passer d'au moins une timide tentative d'élucidation » (nous soulignons). Élucider un tel récit . . .
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