Sous le calme plat du non-dit, les feux du désespoir couvent. Assurée d'être incomprise, confortée dans le silence par une enfance où elle fut témoin de la déchéance des femmes de sa famille, la narratrice ouvre sa maison et son corps à son amant, mais verrouille son cœur et ses mots.
Les orages qui n'éclatent jamais n'en sont pas moins dangereux, et derrière ce stoïcisme, la femme observe l'homme de sa vie. Remarque. Critique. Juge. Diffame. Car celui qu'elle prétend aimer ne représente plus . . .
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