Un même fil conducteur traverse le recueil d'essais de Monique LaRue : le désir d'interroger plus à fond ce qui l'interpelle, autant dans sa vie professionnelle qu'à titre de romancière ou de citoyenne. Désir de comprendre, de partager, d'aller au delà du consensus social, des idées arrêtées, ou de ce qu'il fait bon de penser. « Il est rare que je refuse de répondre à une question, à une invitation, à un débat, écrit la romancière en introduction. Répondre est, pour moi, un autre mot pour le métier d . . .
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