Pour évaluer le travail des éditeurs québécois pendant le conflit de 1939-1945 et au cours de l'immédiat après-guerre, il s'imposait de faire appel à un observateur déjà campé sur des décennies de fréquentations et de coups de sonde.
Qui aurait pu mieux que Jacques Michon satisfaire à cette exigence ? À la compétence technique et historique, il pouvait ajouter le courage de l'évaluateur qui tient à la clarté de son bilan. On doit à Michon une éloquente exposition et un éclairant catalogue avec Les éditeurs québécois . . .
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