Alors qu'il y a déjà longtemps que le cinéma asiatique a fait irruption sur les écrans du cinéma mondial – pensons aux films japonais –, depuis quelques années, le phénomène s'intensifie et des cinéastes de Hong Kong et de Taiwan essentiellement s'imposent sur la scène internationale. Par ailleurs, la production occidentale n'est pas en reste et l'excellence se voit consacrée par la critique.
C'est d'abord dans les festivals que les cinéastes de Taiwan et de Hong Kong ont été reconnus, Hou Hsiao-hsien reçoit, en 1989, le Lion d'or au Festival de Venise pour son dixième film, La Cité des douleurs ; Tsaï Ming-Liang obtient la même reconnaissance pour Vive l'amour et l'Ours d'argent au Festival de Berlin ainsi que le Prix de la Presse internationale en 1996 pour La Rivière,
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