Tout a été dit, tous les superlatifs ont été utilisés, depuis sa parution au printemps dernier, à propos de l’adaptation en bande dessinée, par Manu Larcenet, du roman La route de Cormac McCarthy. L’occasion est trop belle de profiter de la latitude qu’offre la chronique « Cases libres » pour mieux situer cet album dans l’œuvre de Larcenet et dans la tendance lourde d’adapter en BD des œuvres littéraires.
Deux silhouettes ployées d’épuisement poussent un chariot d’épicerie au contenu informe le long d’une route déserte, bord . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion