« Entre la finesse de la mer et la puissance du grain de sable » loge Jonathan Roy.
Louis-Martin Savard s’est entretenu avec lui de la manière dont on peut s’investir physiquement dans une poésie en mouvement qui s’incarne beaucoup par le souffle et la vocalité. A aussi été évoqué le fort potentiel métaphorique d’un lexique acadien contemporain qui n’avait à ce jour pas encore accédé à la littérature. Le recueil idéal de Jonathan Roy serait à la fois humaniste et hyper-acadien – sans nécessairement nommer l’Acadie. Car « le simple fait d’écrire en Acadie suffit ».
« Jonathan Roy. Entre la finesse de la mer et la puissance du grain de sable », à lire dans le numéro d’automne, 168e, de Nuit blanche.