Jour : 9 février 2024

  • Jacques Brault. Le jardiner, ses myosotis et sa très vive espérance

    Jacques Brault. Le jardiner, ses myosotis et sa très vive espérance

    C’est en plein confinement, au temps pas très lointain de la pandémie, que Jacques Brault entreprend d’écrire l’essentiel de ce qui sera son dernier recueil. Durant quelques années, une longue maladie l’aura précédemment détourné de l’écriture. Ce sera pour saluer la mémoire de sa compagne de toujours, Madeleine, décédée en 2014, qu’il rédigera enfin À jamais1.

    Le statut de ce livre posthume est tout à fait particulier. Il tient d’abord à sa nature, mais sa signature y est . . .

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  • La BD documentaire au Québec

    La BD documentaire au Québec

    La bande dessinée québécoise traverse une période dorée. Son essor s’observe notamment dans la veine documentaire.

    D’emblée, pour une partie du public moins au fait de l’évolution du neuvième art, il convient de souligner qu’effectivement, il existe une BD pouvant être qualifiée de documentaire, au même titre que certains ouvrages ou films. Le spectre est large, puisque le documentaire comprend tout ce qui ne correspond pas à de la fiction.

    Reportages, essais et carnets de tournage

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  • Le vertige, le tableau et le monstre

    Le vertige, le tableau et le monstre

    Lorsque l’on m’a proposé d’écrire dans cette fameuse rubrique, j’ai fait comme je le fais toujours quand on me donne l’occasion de vivre une expérience littéraire ou professionnelle inédite : j’ai dit oui presque tout de suite. Saisir la balle au bond d’abord, analyser en profondeur ce que cela suppose ensuite.

    Cependant, au moment de m’asseoir pour rédiger ces lignes, je me dois d’admettre que l’expérience est assez singulière… et qu’elle m’occasionne plus de maux de tête que je ne l’aurais . . .

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  • Maïté Snauwaert. Un plongeon dans les journaux de deuil

    Maïté Snauwaert. Un plongeon dans les journaux de deuil

    Professeure à l’Université de l’Alberta, Maïté Snauwaert s’intéresse aux œuvres littéraires et artistiques qui représentent la fin de vie, le vieillissement, et la perte d’un être cher, qu’il s’agisse d’un parent, d’un conjoint ou d’un enfant. Dans son dernier essai11, dont le titre est emprunté à Joseph Luzzi2, écrivain et enseignant expert de l’œuvre de Dante, l’auteure poursuit cette exploration aussi dense que riche par les pistes de réflexion qu’elle propose.

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  • Jean-François Létourneau. Redresser les cadastres du récit continental

    Jean-François Létourneau. Redresser les cadastres du récit continental

    Se décrivant avant tout comme un pédagogue, Jean-François Létourneau a publié un essai sur la poésie autochtone en 2017 (Le territoire dans les veines) et un roman à caractère autofictionnel en 2021 (Le territoire sauvage de l’âme). L’an dernier, il a signé, en compagnie de Sébastien Langlois, un second essai, cette fois s’intéressant à la chanson de tradition orale et à ses multiples ramifications (En montant la rivière). Depuis 2016, Létourneau agit en tant que conteur au sein du projet Marchands de . . .

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