Daniel Dugas
J’aime les mots. J’aime les agencer, les croquer, les regarder. J’aime le bruit qu’ils font quand on se les met en bouche. J’aime quand ils jaillissent comme une source vivifiante. Daniel Dugas les aime aussi,Daniel Dugas
J’aime les mots. J’aime les agencer, les croquer, les regarder. J’aime le bruit qu’ils font quand on se les met en bouche. J’aime quand ils jaillissent comme une source vivifiante. Daniel Dugas les aime aussi,Daniel Dugas
Aminata1 est un vaste roman qui décrit la fin du XVIIIe siècle et le début du XIXe. Son chemin de croix laisse une traînée sanglante en Afrique de l’Ouest, aux États-Unis, en Nouvelle-Écosse, en SierraTenaces racines du racisme
Stefan Zweig a connu tous les privilèges de la naissance, de la fortune, de la culture, des amitiés prestigieuses, du succès littéraire et de la renommée mondiale. En 1939 son monde s’écroule, « le mondeStefan Zweig, la montée de l’ombre
Il y a fort à parier que Marc Pantanella1, qui vient de faire paraître Typographie inusuelle d’aucune aide pour les gens qui rédigent & fabriquent des imprimés de toutes sortes soit un adepte de la défunte Rubrique-à-brac de Gotlib.Pantanellasque !
L’histoire1 est connue. Et banale. À tel point que l’on pourrait se demander si elle ne s’inscrit pas dans la suite de la trilogie qui s’est vendue à plus de quarante millions d’exemplaires dans le mondeMillénium, Stieg, Eva, et les autres
À la fin de son roman M. (L’instant même, 2010), Hans-Jürgen Greif évoque une photographie qui a été conservée au musée historique de Vienne. On y aperçoit Stefan Zweig et sa femme Lotte étendus surLe dernier exil de Stephan Zweig, Correspondance 1932-1942
Antiterre, tel est le titre du remarquable nouveau roman de Victor-Lévy Beaulieu. Avec Bibi, publié en 2009, Antiterre forme un diptyque qui vient clore, apparemment, les aventures d’Abel Beauchemin inaugurées il y a une quarantaine d’années avec Race deÉmancipation et décimation : Le VLB nouveau quitte les ornières nationalistes
Pour ceux qui fréquentèrent son salon du 229, boulevard Raspail, tels Modigliani, Picasso, Cendrars et Max Jacob, elle était la baronne Hélène d’Œttingen. Or, une seule vie ne suffisait pas à cette mystérieuse aristocrate ukrainienne,Hélène d’Œttingen, dite Roch Grey (1887-1950)
J’écris pour tenter d’appréhender le grand mystère de la vie. Dans un désir irrépressible de saisir le monde tout en l’embrassant, je cherche un ordre dans le grand désordre des astres. La plume à laDarwin et la liberté humaine (L’origine des espèces)