« Toute ma vie, j'ai essayé de fusionner
la poésie, la philosophie et la science
dans une seule phrase universelle. »
La chair ne peut générer un authentique désir sans mouvement perpétuel.
Nous ne sommes pas faits pour l’équilibre dans l’échange, même en circuit fermé. Dans la vie ordinaire, nous lisons sans cesse le même programme redondant de la félicité sans perfection.
Entre les biologies surréalistes et les intelligences démentes, existe-t-il un espace non entaché de leur présence ?
Nous sommes tous porteurs de mensonges plus ou moins élégants, dans la raison comme dans le sentiment.
Comment prétendre à un seul rêve vrai quand la nature est partout tributaire du mensonge de la matière dans la vie.
La vie saute d’un corps à l’autre à la recherche d’un moment éternel dans un mouvement infini. Mais à force de bouger, elle finit par s’épuiser.
Ma vie, je la . . .
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