Tu rentres chez toi
aveuglé
par des feux
qu’on ne sait plus apaiser
Tu ouvres tous les écrans
Les désirs réfractés
déferlent en boucle
Tu grattes sans cesse
la gale de la rumeur
la croire vraie à force
Tu tombes amoureux
comme on se lance en affaires
Tu méprises l’extrémité des âges
leurs regards sur toi
insupportables d’autorité
autant les nier, l’un et l’autre
Sans mémoire, ni lendemain
S’extraire du nombre
et dire pourtant
le NOUS tonitruant de la défaite
C’est du connu
l’agitation cr . . .
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