J’ai rêvé presque toute la nuit que j’étais, avec d’autres personnes, emprisonnée dans un camp nazi. Il nous fallait veiller à ne pas tomber entre les mains d’un soldat de mauvaise humeur : le moindre écart de conduite, et nous risquions l’exécution sommaire. Vers la fin du rêve, je marchais sur la grève d’un des plus beaux villages du Québec, Notre-Dame-du-Portage – que j’ai découvert il y a quelques années à la faveur d’une résidence d’écriture. Je tirais de ma poche une cigarette . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion