« Le livre jamais lu »... Quelle invitation empoisonnée ! 1600 mots pour donner la mesure de mon ignorance, faire le relevé des carences et des lacunes de ma culture...
En énumérant - chose aisée - trois cents titres importants que je n'ai pas lus, je pourrais m'acquitter de cet engagement pris à la légère.
Que j'en évoque tout de même quelques-uns, dont le manque à ma culture me pèse davantage. Mémoires d'Hadrien ou L'œuvre au noir, par exemple, de l'anagrammatique Yourcenar. Cien Años de Soledad de García Márquez, qui ne sera peut-être plus de ce monde quand vous lirez ces lignes. L'écume des jours de l'éphémère Boris, ou encore Les chants de Maldoror de l'encore plus éphémère Isidore (Ducasse, « Comte de Lautréamont »). Avec le prolifique Gide, je ne saurais . . .
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