Ni le Grand Prix de littérature de l'Académie (1942) ni le Grand Prix national des lettres (1955) n'ont suffi à assurer à Jean Schlumberger une place dans l'histoire de la littérature, une place que lui-même n'aura pas disputée très âprement. La vanité l'indispose.
S'il existe un type du bon deuxième, Jean Schlumberger le représente assez bien, installé, dirait-on, à l'ombre des grands, dont André Gide, au premier chef, l'ami de longue date avec qui, en compagnie de quelques autres (dont Jacques Copeau et . . .
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