Hélène Leclerc habite le monde en poète. Elle écrit de brefs poèmes – que l’on appelle haïkus – où la vie se déploie et s’éveille. Ces trois petites lignes, qui ressemblent à une respiration, apportent un rythme très particulier à la poésie. Elles nous apprennent à lire, elles nous réapprennent à voir. En aérant le poème, Hélène Leclerc nous rappelle la nécessité de la lenteur et de la méditation.
Ses haïkus apaisent notre agitation et laissent entendre, souvent pour la première fois, le . . .
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