si je me présentais
tu ne me croirais pas
La scoliose des pommiers, p. 13.
Valérie Forgues : Ton dernier livre, La scoliose des pommiers1, commence sur ces vers : une promesse d’étonnement annoncé. Nous nous sommes croisés autour de la littérature, avec le poème « C’est trop facile de tenir ses promesses », finaliste au prix Geneviève-Amyot en 2017, puis j’ai découvert ta maison d’édition, Fond’tonne. Pourrais-tu faire les présentations, me parler de la mani . . .
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