Curieuse, passionnée, assoiffée de découvrir, de comprendre, de connaître, de partager et de transmettre, Aline Apostolska est aussi une grande voyageuse. Polyglotte – elle parle français, anglais, espagnol, croate et macédonien–, elle a publié une quarantaine de livres en trente ans, en France puis au Québec, dont certains sont traduits. L’auteure d’Ailleurs si j’y suis fait aussi voyager ses lecteurs du Vietnam en Inde en passant par Londres, La Havane, Paris ou Oulan-Bator, et les entraîne au cœur des multiples univers qui la font vibrer. Rencontre avec une écrivaine engagée, prolifique et éclectique.
Nuit blanche : En quoi vos premiers titres parus au Québec marquent-ils une rupture ou une continuité dans votre parcours ?
Aline Apostolska : Je suis née à Skopje, dans cette partie de l’ex-Yougoslavie qui est aujourd’hui la Macédoine du Nord, où j’ai été élevée . . .
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