Certains se souviennent de ses interventions à la télévision dans les années 70. Parmi les autres commentateurs sportifs, il détonnait : il faisait figure d'intellectuel.
Son discours était clair et précis ; la charge courageuse et impitoyable. Puis un jour, l'athlète moraliste devint romancier. Et avec un tel individu, il fallait bien s'y attendre : les histoires qu'il nous raconte ne se déroulent pas dans les décors rassurants auxquels nous avaient habitués les romanciers d'ici.
Nuit blanche : Pour bien . . .
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