J'ai découvert l'univers de Lise Tremblay avec L'hiver de pluie, lu un jour de pluie, l'hiver. J'ai pensé à L'étranger de Camus. Quelque chose de blanc dans l'écriture. Une écriture du regard, du constat. Lise Tremblay écrit comme quelqu'un qui marche.
Rien de spectaculaire dans ses trois romans qui nous plongent dans l'hiver, nous font arpenter des villes où des personnages errent, habités d'une souffrance silencieuse. Rien d'éclatant chez cette auteure qui donne la parole à des narratrices obèses et sans nom . . .
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