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Eugen Drewermann et la psychothéologie (entrevue)

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À Montréal, le 22 octobre dernier (1997), le théologien allemand Eugen Drewermann s’adressait à un large public qui lui semblait acquis d’avance. Il réussissait un tour de force : en deux heures et demie, il résumait l’essentiel de sa pensée, contenue dans une œuvre comprenant plus de 12 000 pages réparties sur une quarantaine de livres.

Bien que Johannes Joachim Degenhardt, archevêque de Paderborn, l’ait frappé d’interdiction de prêcher et de célébrer l’Eucharistie, il continue d’attirer des foules nombreuses. Le message de celui qu’on appelle le nouveau Luther dépasse cependant celui du moine rebelle. Fortement médiatisé, il dit aux catholiques d’aujourd’hui : « Suivez la voix de votre conscience. Relisez les Évangiles et comprenez-les comme des textes faisant partie d’un plus vaste ensemble d’écrits religieux. »

Né en 1940 d’une mère catholique et d’un père protestant, Eugen Drewermann étudie d’abord la philosophie à Münster, puis la théologie à l’Université de Paderborn pour entreprendre ensuite des études approfondies en psychanalyse dans un institut près de Göttingen. Dès ses débuts comme prêtre, il entre en lutte avec l’establishment, ou la branche fondamentaliste de l’Église. Bientôt, il déchaîne des controverses de plus en plus graves en soutenant que l’Église, telle que nous la connaissons, n’a rien à voir avec celle que Jésus de Nazareth a voulu fonder. Eugen Drewermann ose poser des questions qui attaquent les dogmes du catholicisme à leur base même – que la plupart des théologiens d’ailleurs se posent également, sans toutefois le faire ouvertement : comment comprendre la naissance du fils de Dieu d’une vierge ? Que dire des miracles ? Et des guérisons par Jésus ? Est-il ressuscité trois jours après sa mort, et n’a-t-il rejoint son père que quarante jours plus tard (pourquoi quarante) ? Que dire des paroles du Christ concernant le baptême et l’eucharistie, paroles que d’autres ont rapportées longtemps après sa disparition ? Qu’en est-il du célibat imposé aux prêtres ? Et de l’interdiction de l’Église quant à l’utilisation de moyens de contraception, et à l’avortement ? Mais l’attaque la plus virulente, la plus dangereuse aussi, Eugen Drewermann la mène contre le rapport de l’Église au pouvoir, et sa connivence avec ce dernier.

Enfant de la guerre

Eugen Drewermann raconte que, enfant de la guerre, il n’en oublia jamais la terreur. Quand il trouve refuge dans un abri, au cours des bombardements qui ont détruit sa ville natale, il en sent la lourde armature secouée par la violence des déflagrations. Les gens autour de lui hurlent de peur ou se cantonnent dans un mutisme résigné. Après l’attaque, il ne reste plus qu’une ville en cendres, et des milliers de morts. L’enfant n’oubliera pas les tourments que s’infligent les hommes. Et l’adolescent se jurera, comme des milliers d’autres Allemands, que jamais il ne servira dans une armée. Mais voilà qu’à la suite de la guerre froide, au milieu des années 50, l’Allemagne de l’Ouest crée une nouvelle « force défensive » (la Bundeswehr) ; dans les églises, les prêtres enseignent qu’il est du devoir d’un jeune Allemand d’en faire partie, et qu’un refus irait à l’encontre de la morale chrétienne. Quelques années plus tard, l’État accepte que les milliers d’objecteurs de conscience refusent le service militaire. L’Église n’a d’autre choix que de réajuster son tir : elle suit l’État et accepte désormais qu’un jeune Allemand refuse le service militaire. Le jeune Drewermann est profondément affecté par cette attitude : comment expliquer ce changement subit d’une institution qui passe pour être infaillible ?

« Regardons la réalité en face »

Tout l’enseignement d’Eugen Drewermann est basé sur la réalité de la vie moderne. Qui a vécu la souffrance innommable causée par le mal qui habite l’homme (voir à ce sujet son étude Le mal, Structures et permanence, 1995-1996) ne peut plus souscrire à quelque forme de violence que ce soit. Au lieu de prôner des mouvements de masse, de plus en plus en vogue aujourd’hui, ce théologien ramène la conscience au niveau de l’individu. Chacun de nous doit décider de son attitude face au pouvoir, à commencer par celui de l’Église.

Dans son livre le plus célèbre, Fonctionnaires de Dieu, il démonte l’un après l’autre les mécanismes de la hiérarchie ecclésiastique, à commencer par l’aliénation de la pensée des futurs prêtres. Pour mieux comprendre l’autorité exercée par l’Église, cet appareil chargé de deux mille ans d’histoire, il analyse le processus d’aliénation de l’être humain enclenché par une machine hautement efficace dont le but est d’anéantir la volonté, le désir d’une pensée indépendante, bref, d’émasculer l’homme entré au service de l’Église, non au service de Dieu. À cet égard, il cite la phrase célèbre de Léon Bloy : « Parce qu’ils [les prêtres] n’aiment personne, ils se figurent qu’ils aiment Dieu. »

Cette lucidité face à la réalité de l’appareil hiérarchique de l’Église, elle lui vient surtout de sa profonde connaissance de l’âme humaine. Mettant à profit l’enseignement de deux écoles importantes en psychanalyse, celles de Sigmund Freud et de Carl Gustav Jung, et instituant ainsi la « psychothéologie », Eugen Drewermann met au jour les névroses obsessionnelles qui caractérisent nombre de serviteurs de Dieu et leur incapacité d’intégrer émotions et rationalité, ce qui les transforme en fonctionnaires coupés de la misère, la vraie misère, celle de l’homme (Dieu en toute liberté, 1997).

Les Évangiles : des textes poétiques

Avec une solide formation de théologien, des connaissances étendues en philosophie et en mythanalyse, comme en psychanalyse, tout particulièrement celle du monde des rêves et des archétypes, des études poussées en neurologie, Eugen Drewermann ne pouvait être mieux préparé à la relecture des Évangiles. Ainsi s’opposera-t-il à la traditionnelle lecture historico-critique qu’on en fait, qui exige l’oubli de ses propres interrogations, de ses doutes aussi, limitant l’exégèse du texte au seul sens littéral. Théologien doublé d’un scientifique, il propose plutôt une lecture qui tient compte du lieu et de l’époque où sont nées les Écritures, une lecture basée sur l’exégèse psychanalytique, révélatrice du sens spirituel des textes. En d’autres termes : la compréhension recherchée sera davantage poétique qu’historique. Ainsi, selon Eugen Drewermann, Jésus a été un homme dont la naissance n’avait rien d’exceptionnel ; c’est sa vie qui a fait de lui un être d’exception. Être né d’une vierge reposerait plutôt sur des légendes, ou référerait à des mythes comme ceux qui entouraient les rois de l’Asie mineure. Nier l’aspect humain de la naissance du Christ met en lumière le caractère d’un enseignement qui ferme délibérément les yeux sur ce que révèlent les recherches bibliques et historiques. Ces recherches que les prêtres connaissent, mais dont ils refusent de faire part aux fidèles. La volonté d’occulter les connaissances que nous avons aujourd’hui sur l’ensemble des religions et sur leurs interactions (judaïsme, christianisme, islamisme, bouddhisme, religions amérindiennes, etc.) va de pair avec celle d’ignorer le fait que toutes les religions du monde sont interreliées. D’autres religions, bien avant l’apparition du christianisme, ont rapporté des « miracles » comme ceux des Évangiles : le Bouddha a marché sur l’eau longtemps avant Jésus, Dionysos a transformé l’eau en vin et Moïse a multiplié le pain. Eugen Drewermann soutient que ces « miracles », il faut les comprendre avant tout comme une série de symboles illustrant la volonté de Jésus de réorienter la vie de ceux qui l’écoutaient. Dans cette optique, sa résurrection, le tombeau vide, ne signifient plus le fondement de la foi en la Résurrection, mais doivent être compris comme un message : l’histoire de Jésus ne se termine pas avec sa mort.

Dans une célèbre entrevue publiée dans le magazine allemand Der Spiegel1, Eugen Drewermann soutient qu’il est absurde de maintenir le dogme de l’ascension physique de Jésus, quarante jours après sa mort (chiffre tout symbolique), comme on le fait encore volontiers dans l’Église. L’ascension doit être comprise comme une élévation de l’homme au-dessus de ses angoisses, de la menace de l’anéantissement. « Tout autre enseignement n’est pas dicté par la foi, mais par la superstition. » Ici comme dans Fonctionnaires de Dieu (1993), La parole qui guérit (1991) et La peur et la faute (1992), Eugen Drewermann démontre que le catholicisme est une religion d’exclusion où les croyants sont sciemment gardés loin du savoir des prêtres : ces derniers savent que Jésus n’a institué aucun des sept sacrements, comme ils savent que Jésus n’a pas pu dire à ses disciples, lors de la dernière Cène : « Ceci est mon corps, sacrifié pour vous », ou encore : « Ceci est mon sang », parce qu’il aurait été impensable pour un juif de manger la chair, même symboliquement, d’un autre être, fût-il le fils de Dieu. Par ailleurs, selon le théologien, l’enseignement de Jésus est incompatible avec la notion de sacrifice liée au pardon des péchés : Jésus voulait avant tout une renaissance du judaïsme ; il invitait les marginaux (prostituées, pécheurs de toutes sortes) à s’unir à Dieu et la notion du sacrifice expiatoire est étrangère à sa pensée. Refuser l’eucharistie, la communion lors du service religieux, aux non-catholiques comme aux divorcés, par exemple, est un non-sens : Jésus n’a exclu personne de son cercle.

Des mythes essentiels

Eugen Drewermann insiste : à notre époque, il n’est plus possible de faire comme si l’autre n’existait pas. Le christianisme ne peut plus prétendre détenir la clé de la vérité – il n’y a pas unevérité, mais des réponses multiples à nos angoisses. Et chaque religion est, fondamentalement, une réponse possible. Il se peut donc que le bouddhisme fournisse, avec son message pacifique (pratiqué par une large part de ses fidèles) et sa pensée démocratique, une solution de remplacement à quelqu’un dont le tempérament ne se plie pas aux exigences d’une des trois religions issues du Proche-Orient. Mais quelles qu’elles soient, les religions répondent aux images profondément ancrées dans la pensée de l’homme, ces mythes essentiels. En prenant conscience de ces images, et en s’employant à les comprendre, nous serons en mesure de comprendre la religion.

Il faut souligner que l’expérience de l’enfant Eugen Drewermann (quand il croit littéralement toucher pour la première fois la peur de l’homme lors des bombardements à la fin de la guerre) est déterminante : adulte, il comprendra que Jésus mourait sur la croix sans voir un sens à sa mort, qu’il se libérait plutôt de la terreur que lui inspirait la mort en se confiant à Dieu. Si nous suivons son exemple, nous serons capables de nous libérer de la peur.

On dira que c’est justement ce que l’Église ne peut tolérer du message d’Eugen Drewermann : l’homme libéré de sa peur n’a plus besoin d’intermédiaire entre lui et Dieu, alors que l’ensemble de « l’appareil » de l’Église vise à maintenir l’homme dans la peur, à commencer par les prêtres eux-mêmes. Dans Fonctionnaires de Dieu, tout comme dans Dieu en toute liberté, le théologien démonte les mécanismes aliénants qu’impose l’Église à ses prêtres. Il prend comme exemple le célibat. Personne ne peut nier qu’à aucun moment Jésus n’a exigé d’un prêtre qu’il renonce à l’amour (il se méfiait des prêtres en général, et il n’aurait probablement pas voulu de prêtres vivant dans le célibat). En réalité, l’Église viserait à briser la personnalité du prêtre, à l’anéantir, afin qu’il ne vive que pour sa fonction ; ne doit-il pas se refuser à l’amour ? Or, l’enseignement de Jésus est avant tout basé sur l’amour. Et les fidèles sont menés par des prêtres, des évêques et un pape qui s’opposent à la communication immédiate avec un Dieu d’amour, en opposition flagrante avec l’enseignement du Christ. Accepter pleinement les fondements de l’enseignement du Christ signifierait pour Eugen Drewermann l’effondrement de la hiérarchie ecclésiastique et sa perte de pouvoir sur les croyants : les prêtres se marieraient, les femmes célébreraient la messe ; l’autorité de l’Église ne serait plus basée sur le sacrifice, une mentalité masculine et la suppression des instincts ; l’Église verrait arriver des prêtres préoccupés de comprendre les angoisses existentielles des fidèles. Ainsi attaquée dans les fondements mêmes de son autorité, l’Église frappe d’interdiction Eugen Drewermann, comme elle a frappé des douzaines d’autres théologiens catholiques de notre temps qui ne peuvent plus se taire : Hans Küng, Jacques Pohier, Leonardo Boff, Edward Schillebeeckx, Philippe Denis, André Guindon, pour n’en nommer que quelques-uns. Comme le souligne Jean-Claude Petit dans son article sur la réception de l’œuvre d’Eugen Drewermann, la liste peut s’allonger à souhait.

Lors de sa conférence à Montréal, Eugen Drewermann rapporte une anecdote qu’il juge éclairante. Un homme marié aime profondément une autre femme. Son curé lui dit qu’il enfreint les lois de l’Église, et qu’il doit résister à cet amour. Pourtant, il est aussi incapable que la femme aimée de mettre un terme à leur relation. S’il abandonne son épouse, qui traverse une violente dépression nerveuse, elle menace de se suicider. Il continue donc un jeu qui les mine tous les trois et son curé se révèle incapable de le secourir, car il est étranger au désir et ne peut que conseiller à son paroissien de supprimer les sentiments qu’il éprouve pour la femme qu’il aime.

Le même jugement s’exerce envers les femmes qui avortent : elles sont invariablement condamnées par l’Église, sans égard aux conflits qui en résultent pour elles. À cet égard, la position d’Eugen Drewermann est claire : un enfant ne peut vivre que si la mère peut vivre avec lui. Il faut donc voir le problème d’abord avec les yeux de la femme concernée, et non pas du point de vue abstrait du fœtus.

La critique

Accuser Eugen Drewermann de « néo-rousseauisme en quête de l’inconscient d’Émile, [pratiquant] une gnose de l’inconscient2 » semble assez inconséquent, puisqu’une telle accusation ne tient pas compte du souci constant du théologien allemand de rétablir le dialogue avec Dieu, un dialogue libéré des angoisses qu’imposent et que s’imposent des hommes pliés et façonnés par une structure conçue sur le principe de l’autorité et du refoulement des sentiments. Les attaques violentes de l’archevêque de Bordeaux, Mgr Pierre Eyt, cachent mal le désarroi de l’Institution devant l’analyse du théologien allemand, désarroi repris dans le livre de Michèle Aumont qui lui reproche de ne pas percevoir l’Église dans son mystère. Un long article de L’Express (24 avril 1992) corrobore cependant les données avancées dans les ouvrages d’Eugen Drewermann.

« Faut-il brûler Drewermann ? »

C’est sous ce titre provocateur que Jean-Pierre Bagot, un des traducteurs de Fonctionnaires de Dieu, lui-même prêtre et croyant, signe une apologie de l’œuvre drewermannienne3 . Il passe à la contre-attaque, défait les accusations portées contre Drewermann, coupable d’antidogmatisme, d’anti-cléricalisme, de charges destructrices de la foi. Pour soutenir l’auteur allemand dans sa lutte contre la peur, institutionnalisée par l’Église fondamentaliste, il cite la Bible : « Je suis le Dieu qui t’a libéré de la maison de servitude » (Exode 20, 2). Puisque Drewermann dérange, et continue de déranger, l’Église – en France, en Allemagne, ailleurs dans le monde – a tout fait pour empêcher la circulation de ses idées : cabales auprès des maisons d’édition, pressions sur les éditeurs, les traducteurs… Rien n’y fait. Nous ne sommes plus au temps où les comptes se réglaient en réduisant l’hérétique au silence (définitif).

Si l’Église suivait Eugen Drewermann, elle changerait de visage de manière tellement radicale que plus rien ne subsisterait d’elle – ni de son appareil hiérarchique, ni de son pouvoir sur les âmes des fidèles. Le théologien allemand le sait bien. À Montréal comme ailleurs, il soutient qu’il ne vise pas la destruction de l’Église, mais qu’il veut vivre « selon la vérité de l’Évangile ici et maintenant, sans conjecturer sur les conditions qui permettraient enfin que les choses changent. […] Si je risque mon existence en parlant et en écrivant selon ma propre conscience, je trouve ma vie4 ».

À Montréal, une femme l’interroge : « Monsieur Drewermann, depuis que je vous lis, tout s’écroule autour de moi. Je suis incapable d’accepter désormais les procédés de l’Église, et je me sens seule, parfaitement seule. Que dois-je faire ? Fonder mon Église à moi ? » Il répond, dans un geste apaisant : « Je suis aussi seul que vous. Suivez votre chemin, comme je suis le mien. »

 


1. Der Spiegel, no 52, décembre 1991.
2. « Une lecture de Eugen Drewermann », par Roland Sublon, Revue des sciences religieuses, n° 67, 1993, p. 111-115.
3. L’Actualité religieuse dans le monde, mars 1993, dossier entièrement consacré à Eugen Drewermann.
4. Entrevue publiée dans L’Actualité religieuse dans le monde, op. cit., p. 25-26.

Eugen Drewermann a publié entre autres (en traduction française) :
La parole qui guérit, Du Cerf, 1991 ; La peur et la faute, Du Cerf, 1992 ; Le mensonge et le suicide, Du Cerf, 1992 ; Fonctionnaires de Dieu, Albin Michel, 1993 ; Le testament d’un hérétique ou la dernière prière de Giordano Bruno, Albin Michel, 1994 ;Le mal, Structures et permanence, Desclée de Brouwer, volume I : 1995 et volume II : 1996 ; Dieu en toute liberté, Albin Michel, 1997.

Sur Eugen Drewermann : « La réception de l’œuvre d’Eugen Drewermann », par Jean-Claude Petit, inThéologiques, 1 / 2, octobre 1993, p. 101-120 ; « Drewermann devant l’angoisse de l’homme », par Philippe Julien, in Études, novembre 1992, p. 539-547 ; « La psychanalyse au secours de la Bible », par Clairette Karakash, in Revue de théologie et de philosophie, 124, (1992), p. 177-188 ; « Interprétation symbolique et Histoire. Débat avec Eugen Drewermann. » , par Christoph Theobald, in Études, janvier 1993, p. 107-116 ; « Une lecture de Eugen Drewermann », par Roland Sublon, in Revue des sciences religieuses, 67 (1993), p. 111-115 ; « Un catholicisme caricatural et une utopie religieuse plus proche du ‘New Age’ que du message du Christ », par Pierre Eyt, in Esprit et Vie, no 22, juin 1993, p. 334-335 ; Eugen Drewermann, « Les clercs drewermanniens » et l’Église, par Michèle Aumont, Mame, 1993 ; « Les clercs de l’Église catholique : fonctionnaires de Dieu ou serviteurs de Jésus-Christ ? », par Jean-Hervé Nicolas, in Revue Thomiste, 43, 1993, p. 622-634.

L’auteur tient à remercier MM. Michel Roberge et Paul-Hubert Poirier de la Faculté de théologie et des sciences religieuses de l’Université Laval de leur aide précieuse pour les données bibliographiques.