– Ce n'est pas vous, dit le militaire dans sa langue étrange, en comparant le visage du seul passager du compartiment avec la photographie sur le passeport.
– Pardon ? bégaya ce dernier en espagnol.
D'un air sévère, le militaire pointa le visage du passager de l'index, frappa trois fois le passeport du revers de sa main droite et secoua le doigt en signe de négation.
Le passager était nul autre que Manuel Mateos qui, l'air navré, leva les sourcils en montrant les paumes de ses mains et fit non de la tête : il . . .
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