Discours prononcé dans le Grand Temple réformé de Debrecen (Hongrie) le 27 juillet 1995.
Dans le creux de vague que connaît notre histoire, aux dangers graves qui nous menacent, nous avons le devoir de trouver une issue sans encourir de nouvelles hontes et souillures nationales, toujours guidés par les paroles de Petõfi1 : « Car celui qui accepte le joug à son cou, mérite aussi de le supporter »
À l'intention de ceux qui, à Bucarest, sont si sûrs d'eux qu'ils ne veulent pas comprendre de quel joug je parle, je répète donc qu'il s'agit de cette privation de droits qui menace jusqu'en son existence la communauté hongroise de Roumanie, de cette loi sur l'enseignement qui vient de recevoir la bénédiction et la signature du président roumain, et je soulignerai simplement que ses parties discutables prouvent une fois de plus qu'aucune loi n'est parfaite. Mais . . .
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