Discours prononcé dans le Grand Temple réformé de Debrecen (Hongrie) le 27 juillet 1995.
Dans le creux de vague que connaît notre histoire, aux dangers graves qui nous menacent, nous avons le devoir de trouver une issue sans encourir de nouvelles hontes et souillures nationales, toujours guidés par les paroles de Petõfi1 : « Car celui qui accepte le joug à son cou, mérite aussi de le supporter »
À l'intention de ceux qui, à Bucarest, sont si sûrs d'eux qu'ils ne veulent pas comprendre de quel joug je . . .
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