Dans Maria Chapdelaine, trois hommes prétendent à la main de la belle héroïne : un bien sympathique coureur des bois, intrépide et libre, un émigrant installé aux États-Unis, qui promet aisance et vie facile, et un modeste cultivateur, simple et honnête, qui connaît la vie difficile des défricheurs.
Árpá Vigh : Maria choisirait le premier, mais celui-ci « s'égare » et trouve la mort dans l'hiver canadien. Alors, malgré les voix de sirènes du Sud, elle accepte d'épouser le troisième et de rester dans le « pays austère », motivée dans sa décision, notamment, par d'autres voix, intérieures et profondes, lui disant : « Nous sommes venus il y a trois cents ans, et nous sommes restés. [...] Autour de nous des étrangers sont venus, qu'il nous plaît d'appeler des barbares ; ils ont pris presque tout le pouvoir ; ils ont acquis presque tout l . . .
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