Une mort comme rivière boucle la trilogie des Carnets de Francis, commencée en 2009 avec L’automne écarlate, qui fut suivi par Les visages de la vengeance en 2010. François Lévesque s’inspire terriblement du cinéma d’horreur pour écrire ses romans noirs. Il est d’ailleurs critique cinématographique au Devoir et pour Médiafilm. Cette passion pour les films d’épouvante crève les yeux dans Une mort comme rivière, qui est littéralement un hommage à Roman Polanski et à ses films Répulsion et Le locataire.
Dans le dernier tome de la trilogie, Francis, le personnage principal, a une trentaine d’années ; il est contraint malgré lui de revenir à Saint-Clovis, petit village sinistrement accablé de souvenirs. Habitant chez sa défunte tante pendant son court séjour, il . . .
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