« Josette Clotis n’existe pas sans Malraux. » Ce constat brutal mais irréfutable, émis dans l’éclairante préface de François Ouellet, s’applique hélas à plus d’une autrice autrefois privée de visibilité au profit d’un mari, d’un amant, d’un père ou d’un frère écrivain. Quand cette occultation frappe une œuvre de la trempe de ce roman initialement paru en 1934, c’est carrément scandaleux.
Ce sont effectivement les lecteurs familiers avec la vie d’André Malraux qui s’avèrent les plus susceptibles de connaître, ne fût . . .
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