Après avoir rendu hommage à son père adoptif dans L’homme qui m’aimait tout bas (2009), Éric Fottorino entreprenait, dans Questions à mon père (2010), la lente remontée filiale, longtemps rejetée, vers le père biologique avant que ce dernier ne meure emporté par un cancer Dans les deux cas, l’empreinte autobiographique donnait à ces textes à la fois leur couleur singulière et leur charge émotive tout aussi particulière que différente et juste dans l’un et l’autre récit. Sans parler de la touche . . .
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