Linguiste à l’Université d’Ottawa, Éric Mathieu a publié en anglais de nombreux ouvrages et des articles dans des revues spécialisées. Ses travaux portent sur la linguistique française et l’ojibwé, une langue algonquienne. Avec Les suicidés d’Eau-Claire, le syntacticien signe un premier roman.
L’action se passe en Lorraine dans une petite ville industrielle en déclin, Eau-Claire. Dès le prologue, le lecteur prend connaissance de lettres expédiées à un notaire, l’informant du suicide des trois membres d’une même famille, les Corbin ; la clé, l . . .
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