Quel critique de théâtre oserait s'interroger au sujet de Sudbury en parodiant le mépris des pharisiens de Jérusalem à l'égard de Nazareth : « Que peut-il sortir de bon de cette bourgade ? » L'individu serait vite interdit de chronique tant Sudbury et son éditeur, Prise de parole, sont garants d'un théâtre digne des meilleures scènes. Montréal-la-Grande ne fait-elle pas ses délices de Richard III, drame shakespearien traduit par Jean Marc Dalpé et édité où l'on sait ?
Pourquoi Richard III ? Peut . . .
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